Mes premiers pas en Surf à Penhors
Les vacances de Printemps approche. Je suis impatient de reprendre le Surf. Je vais participer à mon troisième stage à Penhors avec Erwann. J'ai égalem
ent suivi un stage l'année dernière à la Torche mais j'ai beaucoup moins aimé. Je préfère les cours d'Erwann notamment pour ses conseils.
Vidéo de surf à Penhors :
http://ma-tvideo.france2.fr/video/iLyROoaftjA4.html
J'ai commencé le surf à mon arrivée en 2007, j'avais 12 ans, je venais de Paris. C'était dur, l'eau froide, l'air vif, je n'étais pas habitué.
J'ai fait une rédaction à l'époque qui racontait mon premier stage suivi au cours des vacances de la Toussaint en plein mois de novembre !!! et livrait mes premières impressions :
"Redonnez vie à vos souvenirs de vacances".
Cette phrase me rappelle mon premier stage de surf pendant les dernières vacances de la Toussaint sur la plage de Penhors à quelques kilomètres de mon domicile en Bretagne.
Je suis accueilli par une forte odeur de marée qui envahit mes narines et le vent qui fouette mon visage.
Première épreuve : se déshabiller dehors et enfiler une combinaison humide me donne la chair de poule.
Pieds nus, je suis le groupe qui se dirige vers la plage. En traversant la route goudronnée, je sens des picotements sous la plante des pieds suivis d'une douleur plus intense au contact des galets irréguliers. Heureusement, un peu plus loin, la douceur du sable me soulage.
Je m'habitue progressivement au contact de l'eau froide qui mouille mon visage et mes cheveux et à son goût salé sur mes lèvres. Peu à peu, la planche m'offre un support doux et rassurant sur lequel je peux m'allonger et surfer sur les vagues. Je ressens alors une impression de légèreté qui se transforme en une sensation de vitesse et l'impression de voler quand j'arrive enfin à tenir debout pendant quelques secondes.
Retour sur la plage. La planche s'est alourdie, mes jambes aussi. Mes pieds sont rouges et raides et peinent à me porter.
La combinaison me colle à la peau et est difficile à enlever. J'ai hâte de rentrer. Quelques minutes plus tard, dans la cabine de douche envahie de vapeur d'eau et du parfum vanillé du savon, je laisse avec bonheur couleur l'eau brûlante sur mon corps qui rougit et picote.
Tout à coup, mes narines perçoivent une bonne odeur familière qui me guide jusqu'à la cuisine où bientôt je savoure de bonnes crèpes. C'est trop bon !
"
ent suivi un stage l'année dernière à la Torche mais j'ai beaucoup moins aimé. Je préfère les cours d'Erwann notamment pour ses conseils.Vidéo de surf à Penhors :
http://ma-tvideo.france2.fr/video/iLyROoaftjA4.html
J'ai commencé le surf à mon arrivée en 2007, j'avais 12 ans, je venais de Paris. C'était dur, l'eau froide, l'air vif, je n'étais pas habitué.
J'ai fait une rédaction à l'époque qui racontait mon premier stage suivi au cours des vacances de la Toussaint en plein mois de novembre !!! et livrait mes premières impressions :
"Redonnez vie à vos souvenirs de vacances".
Cette phrase me rappelle mon premier stage de surf pendant les dernières vacances de la Toussaint sur la plage de Penhors à quelques kilomètres de mon domicile en Bretagne.
Je suis accueilli par une forte odeur de marée qui envahit mes narines et le vent qui fouette mon visage.
Première épreuve : se déshabiller dehors et enfiler une combinaison humide me donne la chair de poule.Pieds nus, je suis le groupe qui se dirige vers la plage. En traversant la route goudronnée, je sens des picotements sous la plante des pieds suivis d'une douleur plus intense au contact des galets irréguliers. Heureusement, un peu plus loin, la douceur du sable me soulage.
Je m'habitue progressivement au contact de l'eau froide qui mouille mon visage et mes cheveux et à son goût salé sur mes lèvres. Peu à peu, la planche m'offre un support doux et rassurant sur lequel je peux m'allonger et surfer sur les vagues. Je ressens alors une impression de légèreté qui se transforme en une sensation de vitesse et l'impression de voler quand j'arrive enfin à tenir debout pendant quelques secondes.
Retour sur la plage. La planche s'est alourdie, mes jambes aussi. Mes pieds sont rouges et raides et peinent à me porter.
La combinaison me colle à la peau et est difficile à enlever. J'ai hâte de rentrer. Quelques minutes plus tard, dans la cabine de douche envahie de vapeur d'eau et du parfum vanillé du savon, je laisse avec bonheur couleur l'eau brûlante sur mon corps qui rougit et picote.
Tout à coup, mes narines perçoivent une bonne odeur familière qui me guide jusqu'à la cuisine où bientôt je savoure de bonnes crèpes. C'est trop bon !
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